L’un des fondateurs de l’œcuménisme a été franc-maçon et ami de Rockefeller
Je ne suis pas tellement pour l’œcuménisme, je considère que l’œcuménisme est le produit de la franc-maçonnerie. – Le Père Dumitru Stăniloaie
Les Illuminés (francs-maçons) ont planifié, il y a un siècle, la création d’un petit État planétaire unique qui sera une véritable dictature de type fasciste. Voilà ce qui se cache derrière la syntaxe Nouvel Ordre Mondial. Cet État unique aura une monnaie virtuelle unique, un gouvernement mondial unique et une religion unique. L’œcuménisme est le pas décisif vers l’atteinte de ce dernier objectif. Par œcuménisme, les maîtres francs-maçons espèrent d’obtenir le monopole de la religion, la dénaturant pour détruire la spiritualité authentique. L’œcuménisme conduira à une sorte de mélange étrange entre les religions connues à ce jour dans le monde entier, et conduira par leur dénaturation, à un satanisme déguisé.
L’œcuménisme, un autre nom pour « Mondialisation »
Le terme œcuménisme est un équivalent au terme mondialisation; du point de vue étymologique, il provient du grecque « oikumene », qui signifie toute la terre habitée. Du point de vu spirituel, l’œcuménisme est l’équivalent de la mondialisation sur les plans politique et économique. La mondialisation est à la géopolitique ce que l’œcuménisme est aux différentes religions et cultes religieux. La mondialisation prévoit la disparition des nations, de façon à ce que les peuples n’aient plus aucun pouvoir et qu’ainsi les francs-maçons puissent facilement contrôler toute la planète par un gouvernement mondial unique. L’œcuménisme envisage l’unification aberrante des différentes religions dans un mélange hétérogène. Cette unification suppose une série de compromis qui conduiront à écarter les religions de leur objet. Les Illuminés détruiront ainsi la recherche et les repères spirituels des croyants de la terre entière et substitueront de fausses valeurs, aux valeurs spirituelles traditionnelles.
Les Conseils cuminiques et le schisme des églises chrétiennes
L’origine de la notion d’œcuménisme doit être cherchée dans les siècles du début du christianisme, lorsque les représentants des différentes églises cherchaient à apporter une uniformité à l’organisation et au dogme de l’Église chrétienne. Dans la tradition orthodoxe on parle des Sept Synodes (ou conseils) Œcuméniques, qui ont eu lieu entre 325 et 757 après J.C. Dans ce cadre ont été rédigés les canons et les dogmes qui gouvernent l’administration de l’Église. Par exemple, dans le cadre du premier Conseil œcuménique, qui a été convoqué à Nicée en 325 par l’empereur Constantin le Grand, a été établi le texte de l’une des plus connues prières chrétiennes, le Credo. La forme du Credo a fait l’objet de nombreuses controverses dans le cadre des Conseils ultérieurs et a été l’un des prétextes au Grand Schisme de 1054, qui a conduit à la séparation des Églises Orthodoxe et Catholique.
Divise et Règne (Divide et Impera en latin)
En réalité, ce moment clef de l’histoire du christianisme a été une conséquence de l’application du principe « diviser pour régner ». Un regard d’ensemble sur son histoire permet de relever l’interférence presque continue du facteur politique dès le premier Conseil Œcuménique, qui a été convoqué par un Empereur. Encore plus gênant est le procédé inverse, c'est-à-dire l’implication de l’Église dans des intrigues politiques, les guerres et la finance. Après le schisme de 1054 où elles étaient occupées à des luttes de rivalité, les Églises ne pouvaient plus garder leur attention sur leur ennemi commun. Au fil du temps, de nombreuses confessions sont ainsi apparues: les protestants, les luthériens, les évangélistes et les baptistes en sont quelques exemples.
Le fanatisme religieux et les divergences théologiques ont toujours été encouragés par la franc-maçonnerie. Après des siècles de guerre ayant pour base des conflits religieux (l’histoire de l’humanité est pleine d’exemples dans ce sens), les maîtres francs-maçons ont créé une solution qui dorénavant est à leur unique avantage: l’unification de toutes les religions en une seule, placée sous leur contrôle. Les organisations œcuméniques préparent le terrain dans ce sens: elles militent pour la standardisation confessionnelle, établissent des protocoles de communication et de collaboration entre les Églises, exactement à l’image du monde économique où les sociétés établissent des relations entre elles par l’intermédiaire de contrats de collaboration. Au nom d’une soi dite tolérance, elles décident la forme dans laquelle les enseignements religieux seront communiqués et pratiqués, les privant de leur charge spirituelle.
Les premières organisations œcuméniques
Pour atteindre cet objectif figurant sur l’agenda de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial, la franc-maçonnerie s’est servie des acteurs de la communauté protestante. À la fin du XIXème et au début du XXème siècle, en Grande Bretagne et aux USA ont pris naissance dans le cadre de ce courant religieux beaucoup plus pragmatique que le catholicisme, de nombreuses associations, organisations, fondations et comités. Ils avaient pour rôle de débattre et de s’impliquer dans les problèmes sociaux, moraux, politiques et économiques; ils représentaient une sorte d’incubateur d’idées religieuses.
En 1937, le Comité des 35 (Committee of Thirty Five), l’un des groupements de coordination de ce réseau, s’est rencontré à Westfield College, à Londres, pour débattre du problème de la réunion de tous les organismes de ce genre sous une direction unique. Dans le cadre de cette rencontre a été décidé la création du Conseil Mondial des Églises (World Council of Churches).
Le Conseil Mondial des églises, le préambule à l’église planétaire unique
Ce dernier devait être créé par l’union des plus importants groupements au sein de la communauté anglicane: Life & Work d’Oxford, qui se concentrait sur les activités pratiques de l’Église et Faith & Order d’Edinburgh, qui se concentrait sur les aspects religieux. Comme ce plan visait l’inclusion sous la tutelle de ce conseil unique de l’Église Catholique et Orthodoxe, le groupement d’Edinburgh avait la tache supplémentaire de trouver des solutions pour lisser toutes les différences confessionnelles.
L’année suivante, en 1938, a eu lieu une conférence à Utrecht, en Hollande, pour préparer la constitution du nouveau groupement. C’est ici qu’a été élue une direction provisoire formée de: l’Archevêque du Temple de York comme président, l’Archevêque Germanos de Thyateria, Dr. John Mott et Dr. Marc Boegner en tant que vice-présidents et Dr. W.A. Viss’t Hooft en tant que secrétaire général. Le déclenchement de la seconde guerre mondiale a ajourné le moment du lancement et de l’enregistrement officiel de la nouvelle organisation jusqu’en 1948. Pendant ce temps, l’organisation a continué son activité. En 1946 a eu lieu un rencontre dans le cadre duquel a été élue une nouvelle direction, formée de cinq présidents: l’Archevêque Fisher de Canterbury, l’Archevêque Germanos de Thyateria, l’Archevêque Eidem d’Uppsala, le Pasteur Marc Boegner et le même Dr. John Mott (photo). Trois quartiers généraux ont été désignés: un à Genève, le second à Londres et le troisième à New York. Plusieurs sous-commissions ont été constituées, qui avaient le rôle de débattre des problèmes en rapport avec d’importantes implications politiques et sociales. Par exemple, en 1947 s’étaient formées des commissions qui avaient pour thème: « L’Église universelle dans le plan de Dieu » ou « L’Église et le désordre social ».
Les Fraternités œcuméniques
La formation du Conseil Mondial des Églises s’est pratiquement déroulée au moment où l’œcuménisme maçonnique s’est doté d’une forme institutionnalisée. Définit dès le début comme une « fraternité des églises » (« fellowship » en anglais), comme on peut le lire à présent sur son site officiel, le Conseil Mondial des Églises est une organisation maçonnique de premier ordre. L’utilisation du mot « fellowship », le même qui désigne la maçonnerie, est une première preuve qui abonde dans ce sens. Il ne faut pas être surpris que John Mott, le principal militant dans la mise en œuvre et la propagation du nouveau concept, a été franc-maçon.
Parmi les objectifs du nouveau Conseil Mondial des Églises ainsi formé, se trouvait aussi la « promotion de la croissance de la conscience œcuménique parmi tous les membres des Églises ». Les jeunes ont été les premiers contactés. Des méthodes déjà éprouvées auparavant par la franc-maçonnerie, ont été utilisées: offres de bourses, échanges d’étudiants entre pays, organisation de « fraternités » dans les grandes universités. Seul l’enjeu était différent : pour certains la franc-maçonnerie facilitait l’accès à l’argent, au pouvoir et aux relations dans la société par une appartenance réelle à une loge. Aux autres elle offrait la possibilité de participer à des missions d’évangélisation de la planète, par l’adhésion à une organisation religieuse « écran ». Ainsi la franc-maçonnerie attirait pour son compte une catégorie de jeunes qui sans cela auraient naturellement été de l’autre côté de la barrière.
John Mott, le franc-maçon œcuméniste
Le pasteur franc-maçon John Mott a été désigné pour mettre ce plan en application. Il avait une large expérience de la mobilisation des étudiants. Dans sa jeunesse, il était déjà actif dans l’organisation « Young Men's Christian Association » (l’Association des Jeunes Chrétiens), connue sous le nom de « The Y » (le nom et le sigle rappellent plus les fraternités des campus universitaires, que la religion). John Mott a été le fondateur et le président d’une partie de cette organisation qui encourageait les jeunes à s’impliquer dans des missions d’évangélisation, et dénommée « Student Volunteer Movement for Foreign Missions » (le Mouvement des Étudiants Volontaires pour des Missions Externes). De 1895 jusqu’en 1928, Mott a été secrétaire général puis président de « World Student Christian Federation » (la Fédération Mondiale des Étudiants Chrétiens). C’est toujours lui qui a dirigé dès 1921 l’ « International Missionary Council » (le Conseil International Missionnaire), qui en 1961 a fusionné avec le « Conseil Mondial des Églises ». Mott a présidé en 1910 à Edinburgh en Ecosse, la « World Missionary Conference » (la Conférence Mondiale Missionnaire) au cours de laquelle il a lancé le concept d’œcuménisme dans son sens maçonnique moderne. Il a fait partie de touts les organismes de direction du « Conseil Mondial des Églises », en tant que vice-président ou président et finalement président d’honneur à vie.
Le clan Rockefeller a financé l’œcuménisme
De plus John Mott a été le principal promoteur de l’objectif d’évangélisation de la planète entière durant sa génération, sous le prétexte que ce soit l’unique manière pour que Jésus revienne sur Terre. Son principal ouvrage The Evangelization of the World in this Generation (L’Évangélisation du monde pour cette génération) présente in- extenso les modalités de mise en application de cette idée, qui est devenue le slogan des missionnaires du XXème siècle.
Peu savent que John Mott avait des relations étroites avec le clan Rockefeller. Grâce à ces relations, Rockefeller a financé la formation en 1946 en Suisse, de l’ « Institut Œcuménique », l’une des principales branches du « Conseil Mondial des Églises ».
Des organisations œcuméniques financent des conflits armés
De même que la maçonnerie, présentée pour les naïfs et les sots comme une « organisation discrète impliquée dans des actions de charité », les groupements œcuméniques organisent des collectes de fonds. Cet argent finance souvent des actions armées dans des pays du tiers monde.
A la suite des conférences œcuméniques qui ont eu lieu à Genève en 1966 et à Uppsala en 1968, le Comité Exécutif du « Conseil Mondial des Églises » a voté à l’unanimité, le support financier de 19 mouvements armés en Afrique. En 1977, le même « Conseil Mondial des Églises » a accordé une autre aide financière au profit de mouvements armés du même genre en Afrique Centrale. Cet argent a été utilisé pour acheter des armes et des munitions et a entretenu des conflits sanglants dans ces pays africains.
La mondialisation et les problèmes économiques, à l’ordre du jour de l’œcuménisme
L’organisation « La Conférence des Églises Européennes » fondée à Nyborn (Danemark) en 1959, est une des principales organisations militantes de l’œcuménisme. Dans son objet présenté dans ses statuts, manquent justement l’objet lié à la spiritualité. L’organisation est plus préoccupée par les « …problèmes posés aujourd’hui par le phénomène de la globalisation et de la mondialisation du point de vue économique et la nécessité d’une stratégie de justice et d’assistance sociale ». En 1972, au cours de la 25ème session du Comité Central de la « Conférence des Églises Européennes » qui a eu lieu à Utrecht, le théologien allemand Jürgen Moltmann a soutenu la thèse maçonnique d’un gouvernement mondial unique, présenté comme la solution indispensable pour les besoins actuels de la société. C’est toujours lui qui a accentué la nécessité pour l’Église de se dégager de ses particularités confessionnelles et structurelles.
Ces organisations œcuméniques se comportent comme si elles avaient pour but de veiller à la transformation des Eglises à travers des institutions de charité qui militent pour la tolérance, contre la pauvreté et pour les droits de l’Homme, ou encore qui organisent des manifestations écologiques. Il n’y a rien de mal à réaliser ce genre d’actions, mais il existe déjà de nombreux organisations spécialement créées dans ce but. Quant aux préoccupations liées à la mondialisation, c’est trop épatant en contexte religieux.
L’existence des affirmations des Protocoles est à nouveau prouvée
L’Eglise a une fonction toute à fait différente, spirituelle, qu’elle risque de ne plus accomplir sous la tutelle des nouveaux conseils œcuméniques maçonniques. Et les individus ne parviendront à y reconnaître qu’une institution d’État à laquelle ils ne feront appel que pour le mariage, le baptême ou les funérailles. L’Eglise devient de plus en plus étrangère à la vie et aux besoins spirituels des personnes.
Ainsi sera confirmé ce qui a été prévu dans le XIVème Protocole des maîtres francs-maçons: « Quand nous serons les maîtres de la Terre, nous ne tolérerons aucune religion autre que la nôtre, c'est-à-dire une religion n'admettant qu'un seul Dieu. Il faut pour cette raison, que nous abolissions toutes les professions de foi. Si le résultat obtenu est de créer momentanément des athées, notre but n'en sera pas contrarié, mais cela servira d'exemple aux générations futures qui écouteront notre enseignement, religion dont la doctrine ferme et bien réfléchie nous imposa le devoir de mettre toutes les nations à nos pieds ».
Par Angela Anghel
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