lundi

Fin d’une Décennie

PERTE DES DROITS ET DES LIBERTES, ET PREPARATIFS POUR UNE GOUVERNANCE MONDIALE !


Je vous propose de faire le point sur les 10 années qui viennent de s’écouler, avant de vous livrer ma synthèse de l’année 2009. Un bref rappel des faits marquants de la décennie écoulée est nécessaire pour bien comprendre l’ampleur des dégâts et des pertes subies au niveau mondial depuis 10 ans.

Entre 2000 et 2009, le monde a fortement régressé. Pas du point de vue technologique, mais du point de vue humain et en ce qui concerne la démocratie.

Nous avons pu nous rendre compte qu’un plan international existe afin de mettre en place, par étapes successives, une gouvernance mondiale. Cette gouvernance mondiale, au vu de ce qui s’est passé (et qui continue d’évoluer), ne pourra hélas pas être une évolution positive.

Ce plan international ourdi contre nos intérêts a été mis en place par l’élite mondiale. Pas seulement les chefs d’Etat (qui sont cependant impliqués), mais aussi les institutions supranationales ou mondialistes (OMC, OMS, FMI, banque mondiale, OTAN, Union européenne, ONU etc.), les sommets financiers (Davos, G20…) et les instances supérieures de ce « nouvel ordre mondial » (groupe Bilderberg, Council on Foreign Relations, Commission trilatérale, Pigrims Society et autres think tanks malfaisants). Parmi ce gratin de l’immonde, nous retrouvons, outre les chefs d’Etat, des banquiers internationaux, des patrons de multinationales, des « experts scientifiques » corrompus payés par l’industrie, la noblesse (rois et reines), et aussi les mass médias prostitués, sans qui la désinformation et la propagande n’auraient pu amener les populations à gober les mensonges colossaux avec lesquels on leur a lavé le cerveau en profondeur, jour après jour.

Le plan général est en soi fort simple : créer de toute pièce des événements catastrophiques et traumatisants, trouver un ou des boucs émissaires, et faire réagir les populations à chaud, suite à ce traumatisme, en leur proposant (ou en leur dictant) des mesures antidémocratiques. Ce plan suit le principe du « problème-action-solution », principe de manipulation de masse très prisé par les élites mondialistes. Le tout sous les apparences trompeuses de démocratie, d’écologie, de mesures sanitaires, ou encore sous l’excuse de la « sécurité » nationale et internationale. Toutes ces apparences cachent en réalité des buts bien différents, et qui, sans exception, sont antidémocratiques, totalitaires et liberticides.

Nous avons ainsi connu plusieurs événements tragiques qui ont constitué autant d’étapes vers la mise en place d’une dictature mondialisée.
Des étapes politico-économiques ont été mises en place. Citons par exemple :

  • L’accord général sur la commercialisation des services (AGCS) mis en place par l’OMC afin de privatiser et de détruire ce qu’il reste de services publics (poste, enseignement, télécommunications etc.)
  • L’apparition d’une « monnaie régionale » (une monnaie internationale, en réalité) en Europe : l’euro
  • L’élargissement de l’Union européenne
  • La mascarade despotique des prétendus « votes » afin d’établir une « constitution européenne », puis le traité de Lisbonne (qui n’est jamais qu’un remix de cette constitution européenne)
  • La naissance de l’Union nord-américaine entre les USA, le Canada et le Mexique, qui permet d’annihiler la souveraineté de ces 3 Etats et de créer des lois politiques, économiques et même juridiques ou militaires communes
  • La poursuite de la construction d’un système de plusieurs centaines de « camps d’internement pour civils » (= camps de concentration) sur le sol américain, et de prisons secrètes américaines à l’étranger (Guantanamo, prisons secrètes de la CIA)

 

Des événements traumatisants furent mis en place afin de déclencher des guerres et/ou de supprimer des droits et des libertés. Parmi ceux-ci, nous trouvons :

  1. Premier traumatisme : les attentats prétendument « terroristes » du 11 septembre 2001, dont l’origine remonte jusqu’au gouvernement américain, et qui, sous le choc traumatique de ce crime d’Etat, ont permis de déclencher des guerres et conflits (Afghanistan, Irak, problèmes avec l’Iran) etde faire adopter immédiatement (et sans qu’aucune réflexion ou analyse sérieuse ne soient entamées), une série de lois d’exception, anticonstitutionnelles et qui ont réduit les libertés aux USA d’abord (Patriot Act) et dans le monde ensuite (lois « antiterroristes »). Ces attentats du 11 septembre 2001 ont permis de « justifier » la poursuite de la construction de camps de concentration sur le sol américain, et l’ouverture de prisons secrètes de la CIA à l’étranger, y compris en Europe, avec déportation illégale de citoyens et d’individus.
  2. Second traumatisme : la crise économique mondiale, qui a débuté aux USA (encore une fois) pour se généraliser ensuite, et qui a permis (toujours dans un contexte traumatisant et de peur) de faire adopter à nouveau des mesures « d’urgence » ou « d’exception » au niveau économique. Via ces mesures d’exception, le rôle, le financement et la puissance du FMI (porté au rôle de « gendarme économique mondial ») ont pu être augmentés, et les dernières souverainetés nationales fortement diminuées. Enfin, cette crise a permis d’accélérer le mouvement des monnaies internationales (on a parlé de potentielles monnaies régionales telles que l’améro pour l’Amérique du Nord, le « sucre » pour l’Amérique du Sud, le « golden Mandela » pour l’Afrique, etc.), et même de planifier, pour la première fois, la création d’une monnaie unique mondiale (ce qui constitue l’un des buts principaux de l’élite mondiale pour parvenir à leur gouvernement mondial) ! Notons au passage que cette crise économique mondiale, malgré les discours rassurants colportés par la propagande des médias, est encore loin d’être terminée, et que des dangers colossaux subsistent.
  3. Troisième traumatisme : le déclenchement artificiel, voire prémédité, d’épidémies en tout genre (grippe aviaire, syndrome respiratoire aigu sévère, grippe A/H1N1 et autres) a rapporté des milliards à la mafia des multinationales pharmaceutiques, a permis à l’OMS de changer la définition du terme « pandémie » et de mettre en place, au niveau mondial (OMS) et au niveau des nations (via des lois d’exception sur le plan sanitaire) les prémisses d’une loi martiale médicalisée avec, notamment, de potentielles vaccinations obligatoires, des mises en quarantaine, des amendes et châtiments sévères pour tout citoyen qui « représente un danger pour la santé publique »... L’OMS elle-même, avec la déclaration de « pandémie de niveau 6 », a pu prendre le contrôle, au niveau sanitaire, des 194 pays qui lui sont affiliés. Nous en rediscuterons dans le résumé de l’année 2009, avec le complot du H1N1.

Le concept de « terroriste » lui-même a été déformé, dénaturé, généralisé et élargi, au final, à toute catégorie d’opposants politiques ou citoyens (révolutionnaires, anarchistes, contestataires, manifestants, grévistes, syndicalistes…) avec la naissance du « terrorisme domestique » ou des « leaders d’opinion radicaux », termes qui cachent mal la volonté de parvenir à une emprise dictatoriale et à un contrôle maximum sur les populations et les individus. Les mesures antiterroristes ont eu pour effet secondaire de réduire considérablement la liberté d’expression, la liberté d’association et la liberté de presse, et même de réinstaurer la pratique abominable de la torture, en violation totale des Droits de l’Homme et de la Convention de Genève. Notons que la version officielle de ces attentats du 11 septembre 2001 a été largement remise en doute par des groupes de citoyens et d’experts. Notons aussi que des mensonges éhontés, tels que celui des « armes de destruction massives irakiennes », par exemple, ont finalement été découverts et révélés.

Il nous faut absolument signaler l’adoption de technologies nauséabondes, dangereuses, liberticides et qui suppriment la vie privée. Ces technologies ont été adoptées sous l’excuse pitoyable des traumatismes cités ci-dessus, afin de pouvoir mettre en place un mécanisme « sécuritaire » (mais néanmoins despotique) de surveillance et de contrôle des populations. Parmi ces technologies, citons les cartes d’identité électroniques, la biométrie, les micro-puces RFID, les passeports biométriques, les micro-puces implantables pour humains, les nanopuces, les nanotechnologies, les logiciels de détection de « comportements suspects », les lois prises à l’encontre des libertés de l’Internet et aussi le début de technologies permettant d’analyser les pensées…

Enfin, signalons aussi les dangers liés à la justice « préventive » (donc injuste car basée sur des intentions plutôt que sur des faits), au transhumanisme, au brevetage du vivant, au clonage, aux OGM, à la modification physique de l’être humain, à la robotique et aux nouvelles découvertes en cybernétique, en génétique ou en neurosciences. Nous nous devons également de dénoncer la résurgence d'idéologies et de pratiques putrides telles que l'eugénisme et certains concepts nazis (notamment, le concept de surhomme ou Ubermensch, concept repris et intégré par les transhumanistes, ces savants-fous qui souhaitent s'attribuer de "nouveaux pouvoirs" via la modification technologique de l'organisme afin de dépasser le stade d'humain !)

Nous pouvons donc nous apercevoir que la première décennie du 21e siècle fut, à de nombreux points de vue, une catastrophe pour la démocratie et sur le plan des libertés. Nous pouvons nous apercevoir également que les chocs provoqués par les événements traumatisants de cette période ont permis de mettre en place les bases pour une gouvernance mondiale axée sur des principes totalitaires.

La conclusion à en tirer est fort simple : si les citoyens, de par le monde, ne commencent pas à ignorer la désinformation des mass médias, à réfléchir, à réagir et à s’organiser afin de s’opposer aux projets de l’élite mondiale, les pays du monde entier tomberont sous le joug d’une dictature mondialisée, impitoyable et totalement inhumaine.

 

Le Vigilant

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